En
1947, l'aérodrome est classé aérodrome privé agréé avec restriction. J.B.
Salis remonte des ateliers pour se consacrer à la reconstitution et la restauration
d'avions historiques, notamment pour le Musée de l'Air (les ailes de l'Antoinette
de Latham, le Spad de Fonck, le Bebe Nieuport de Cazale, le Blériot de Pégoud,
un Pfaltz allemand...)