Jean-Baptiste
fait également des recherches de victimes en montagne à la demande
des Syndicats d'initiative. Il est souvent obligé d'atterrir dans des endroits
très accidentés.
Tous ces vols s'effectuent avec des avions provenant des surplus de la première
guerre mondiale (Avro, Sopwith, Hanriot, Spad 16) souvent mal appropriés à
ce travail aérien.